Joseph de Sonis
Le Domaine
Joseph de Sonis et Bertrand de Cuyper ont repris ce domaine historique de l’appellation début 2011.
Après plus de 20 années dans le Beaujolais, ils décidèrent de mener une nouvelle aventure et d’exprimer leurs convictions avec humilité et sincérité : respect des terroirs et des rythmes naturels, interventions minimales et raisonnées à la vigne comme à la cave, patience, respect de l’identité et du style de vin historique du domaine.
Situé en bas du village, le domaine des Pins tient son nom d’une allée derrière la maison plantée de pins centenaires. Malheureusement beaucoup ont été détruits lors de la tempête de décembre 1999. Le domaine exploite une douzaine de parcelles sur 6 hectares couvrant des sols variés allant des grès de la Folie aux marnes profondes des Pochieux en passant par les sables de la Tête de Bonet.
Petite histoire de Saint-Amour
Saint-Amore, soldat romain converti appartenant à la légion Saint-Maurice donne son nom à la commune de Saint-Amour.
Il vécut en missionnaire après avoir échappé à un massacre dans le valais Suisse.
Joseph de Sonis
Le Domaine
Joseph de Sonis et Bertrand de Cuyper ont repris ce domaine historique de l’appellation début 2011.
Après plus de 20 années dans le Beaujolais, ils décidèrent de mener une nouvelle aventure et d’exprimer leurs convictions avec humilité et sincérité : respect des terroirs et des rythmes naturels, interventions minimales et raisonnées à la vigne comme à la cave, patience, respect de l’identité et du style de vin historique du domaine.
Situé en bas du village, le domaine des Pins tient son nom d’une allée derrière la maison plantée de pins centenaires. Malheureusement beaucoup ont été détruits lors de la tempête de décembre 1999. Le domaine exploite une douzaine de parcelles sur 6 hectares couvrant des sols variés allant des grès de la Folie aux marnes profondes des Pochieux en passant par les sables de la Tête de Bonet.
Petite histoire de Saint-Amour
Saint-Amore, soldat romain converti appartenant à la légion Saint-Maurice donne son nom à la commune de Saint-Amour.
Il vécut en missionnaire après avoir échappé à un massacre dans le valais Suisse.